 | | | Texte de correspondance | 17-09-06
Je quitte aujourd'hui la mer, pour retourner deux jours à Noyon.
J'irai te voir cette semaine sans doute Mercredi ou Vendredi.
J'espère, mon cher Edouard, te trouver en meilleur santé et bien content. Il vaudrais bien emporter dans ma malle quelques bonnes bouffées d'air marin pour toi : Comme ma malle ne retient pas l'air, je me contenterai de t'envoyer les meilleurs voeux et le plus ardentes pour ton rétablissement. Signature |
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