| | Texte de correspondance | 17 aout 1927. Merci pour vos bons souhaits, chère amie. Je n'ai pas oublié non plus, la te Suzanne. et je regrettais vivement de n'avoir pas votre adresse pour vous emmener mes vœux à la date exacte de votre fête. Pour être tardifs, ils n'en sont pas moins affectueux et sincères
Le temps s'améliore depuis dimanche et je souhaite que votre quinzaine et la notre soit un peu plus favorisée.
Dans le Finistère, il a fait un temps affreux et hier du fais j'ai pensé à André et à son camping. Reçu de bonnes nouvelles du parisien. Alice trouve les jours un peu longs et cela se comprend votre retour l'enchantera mais dès lundi elle aura son frère.
Amitiés de tous les mieux pour vous et Mde Lindi.
Bien cordialement à vous.
M. Gilles |
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