| | Texte de correspondance | Mon cher ami,
J'ai su par René que tu t'étonnais de ne pas avoir de mes nouvelles.
Je suis si paresseux ! Quelle fatalité !
tu passais à 6 h, j'arrivai à 8. J'étais navré de ne pas te trouver à Saints. Pauvre permission, je l'ai trouvée bien courte. Inutile de te dire que j'en ai passé une assez grande partie à Saints … 2 ou 3 fois. Je devais m'y partager. Le jour avec Y. Le soir avec les copains.
Tu nous manquais certes mais le temps m'a paru court. Maintenant à Groix je m'en irai au 6 de toute façon je ne compte plus que q.q. mois. Je te serre les phalanges. |
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