Mars 1901
Cher Cousin. Si vous saviez le vent que nous avons ici ! Jugez-en d'après les
cheveau de la bonne femme. Que notre grand-mère ne s'éffarouche pas à sa vue,
elle aurai pu être moins habillée.
NB : Ne pas oublier de regarder l'air très intelligent du lion.
Cordiale poignée de main.
A. Pons