| | Texte de correspondance | 10 oct. 03
Les nouvells que tu me donnes de toi me font bien plaisir, je les attendais avec
impatience ce que je ne regrette plus maintenant que je les sais bonnes.
Ma tant doit être bien heureuse maintenant et elle doit se féliciter de son courage
qui a mon avis n'est pas sans mérite (tu peux le lui dire).
Le mari méritais (ill.) en effet mais maintenant, j'en ai pris mon part et cela ne me
fait plus rien d'y penser car j'espère bien que l'on ne m'oublira pas et que donneras
souvent de tes nouvelles, ma chère amie.
Mille baisers pour tous et pour toi.
Ton cousin Max
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