| | Texte de correspondance | 27 sept. 1915-Malestroit
Cher Gaston, chère ,
Je dispose [illisible] pour emmener mes fillettes. Je regrette infiniment mais nous ne pouvons nous arrêter aux' '. Il faut que nous soyons à Paris le 30 la rentrée étant le 1er. Il n'y a que l'express de nuit que nous puissions prendre à cause des correspondances de Malestroit! Ce sera donc pour les vacances prochaines.
Mais d'ici là, vous viendrez peut-être à Paris où nous serons très contents de vous avoir.
Guitte et Marie regrettent bien de ne pouvoir vous voir et faire connaissance de Picre et Dédée qui sont de mignons.
Nous vous embrassons tous bien affectueusement.
Marie-Hervé vous envoie un affectueux bonjour .
Je vous enverrai le colis de pots à confitures lorsque je serai de retour à Paris
J. Desbaies |
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